L’étude conclue que la qualité, la quantité et la mise en réseau de nombreux milieux naturels sont insuffisantes pour garantir la préservation à long terme de la biodiversité et des services écosystémiques. L’étendue de la surface effectivement requise est considérablement supérieure aux surfaces existantes. Cela varie en fonction des milieux et des régions. Il s’agit en priorité de stopper la perte des surfaces et la diminution de leur qualité, ainsi que la fragmentation des milieux. Pour plusieurs milieux, des mesures d’amélioration et de restauration se révèlent indispensables