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Pastoralisme & tourisme : Cohabitation des usages touristiques et pastoraux

Les acteur-ice-s du milieu pastoral se trouvent concernés au premier degré sur la question des relations entre activités pastorales et activités de pleine nature, car elles se sont très largement dégradées ces derniers temps, particulièrement du fait de la présence des chiens de protection et de l’augmentation de la fréquentation sous différentes formes.

Des projets d’énergie renouvelable contestés

Développement de l’hydroélectricité dans des vallées reculées des Alpes, panneaux photovoltaïques sur des alpages : à quel prix le développement des énergies renouvelables est-il encore acceptable dans les Alpes ? Cette question préoccupe les populations alpines dans la Kaunertal (Autriche) et à Gondo (Suisse).

Un site Natura 2000 sous pression

Une importante fréquentation impacte la nature et les infrastructures dans le site des Trois Becs/F. Une étude de CIPRA France propose des mesures telles que la sensibilisation des visiteurs et une meilleure communication.

Les services rendus par la nature dans les Alpes

Des alpages qui nous nourrissent, des arbres qui créent un microclimat agréable, des paysages alpins qui nous guérissent et nous émeuvent : le rapport annuel 2021 de la CIPRA met en avant la valeur de la nature, et montre comment nous pouvons protéger les écosystèmes alpins.

Les paysages alpins ne sont pas renouvelables !

Sommets, lisières de forêts, rives de cours d'eau : les paysages alpins reflètent le passé et le présent. Ils sont fondateurs d’identité, espaces récréatifs, liens à nos origines ou lieux de désir – aussi et surtout en temps de crise. Le document de position adopté par les délégués de la CIPRA le 9 décembre 2020 montre pourquoi le paysage est plus qu’une simple notion géographique, et pourquoi nous avons ici une responsabilité à assumer.

Les paysages alpins ne sont pas renouvelables !

Le paysage joue un rôle essentiel dans la négociation des enjeux sociaux et politiques. La CIPRA s’est penchée sur ces enjeux à l’échelle alpine dans le cadre de son focus sur le paysage en 2019-2020. La présente position est la conclusion de ces deux années de travail. Elle a été développée dans le cadre d’une démarche large et participative réunissant des représentant·e·s de la CIPRA, de jeunes habitant·e·s des Alpes et des expert·e·s de tous les pays alpins.

Le paysage n’est pas renouvelable

Les relations, les souvenirs et les visions sont inscrits dans le paysage. Le document de position actuel de la CIPRA montre pourquoi le paysage est plus qu’une simple notion géographique, et pourquoi nous avons ici une responsabilité à assumer.

La CIPRA vibre pour les paysages

Un col slovène, un glacier moribond en Suisse, un sentier pastoral en France : dans son rapport annuel 2019, CIPRA International apporte un éclairage sur les émotions que suscitent les paysages et leurs histoires.

Diagnostic paysager pour la ville de Grenoble

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Une série sur les paysages sauvegardés des Alpes

Des lieux où des gens ont sauvé les paysages naturels et culturels : une série de la CIPRA sur les paysages sauvegardés des Alpes rappelle l’histoire de ces sites.

Le multiusage des espaces pastoraux : le paysage comme levier pour harmoniser les tensions liées au partage de l'alpage. Cas du Haut-Verdon

Mémoire réalisé par Aude WARTER, dans le cadre d'un stage en collaboration avec CIPRA France et la Communauté de communes Alpes Provence Verdon. Mémoire de fin d'études d’Ingénieur de l’Institut Supérieur des Sciences agronomiques, agroalimentaires, horticoles et du paysage, spécialisation Projet de Paysage, Site et Territoire.

Des idées jeunes pour les paysages alpins

Quel avenir pour les territoires de montagne ? Dans le cadre du projet « Living Labs » de la CIPRA, des jeunes de tous les pays alpins ont cherché des réponses à cette question lors de visites de terrain, de sessions et de discussions sur le thème du paysage.

Quand le paysage est source d’émotions

Du col slovène au glacier moribond de Suisse et au sentier pastoral français : des paysages dont l’histoire nous a émus cet été.

Point de vue: Pour que les paysages aient un avenir

Les gardiens des paysages sont les personnes qui y vivent. Pour Špela Berlot, directrice de CIPRA Slovénie, les populations doivent donc être impliquées dans les processus de décision et les démarches de développement.

Le paysage est-il négociable ?

Pourquoi les parcs d’éoliennes façonnent-ils de nouveaux paysages? Pourquoi est-ce justement l’indéfini qui est beau? Qu’est-ce qui mérite d’être protégé? Un plaidoyer pour l’esthétique, par Rudi Erlacher.

Participation citoyenne : nous gagnons du terrain

Dans toutes les Alpes, il y a des personnes qui endossent la responsabilité pour la préservation des paysages. Ils achètent des terrains, votent, parrainent et entretiennent les paysages culturels séculaires.

« Le paysan a appris, lui aussi, à se promener »

Gion A. Caminada, élevé dans le village suisse de Vrin, a vécu différentes approches du paysage au cours de sa vie. Par son architecture, il souhaite façonner les communautés et les relations entre les gens, les objets et les paysages.

Mon regard sur les Alpes

Jardin potager, pâturage ovin, tunnel : l’environnement dans lequel nous vivons et nous travaillons nous influence. Six personnes racontent leur paysage personnel.

Rêver et jodler les alpes

Forêts, prairies, montagnes : lorsque nous pensons » paysage «, notre tête se remplit d’images. Mais on peut aller au-delà d’une simple observation du paysage alpin.

Le paysage est dans les yeux de celui qui le regarde

Pour quelle raison la perception du paysage varie-t-elle d’une personne à l’autre? Qu’est-ce qui influence la façon d’observer? Le modèle à quatre pôles explicite les différentes approches possibles.

Le paysage est négociable — sa protection ne l’est pas

Notre paysage alpin est relié à tant d’histoires personnelles ; pourtant il se transforme de plus en plus en ressource interchangeable. Est-il encore possible de le sauver ?

Du crowdfunding pour préserver des terres

Acheter des terres pour les sauver : tel est le but de deux campagnes de crowdfunding actuellement en cours dans les Alpes françaises.

Entretenir les paysages et les relations

Les châtaigniers du Val Stura/I créent du lien entre les réfugiés et les habitants.

Le paysage est négociable

Comment notre vision des Alpes influence-t-elle nos liens avec la nature et les ressources naturelles dans les Alpes ? Le numéro actuel de la revue thématique Alpenscène met en lumière notre relation au paysage alpin.

Pas de paysage en vue

La consommation d’espace s’accentue et nuit de plus en plus aux paysages alpins. Pour tenter de renverser la tendance, les écologistes suisses ont lancé une initiative contre le mitage. Leur objectif : freiner l’économisation du paysage.

Ce que le paysage nous raconte

Comment percevons-nous les changements qui affectent le paysage ? Pourquoi sommes-nous plus attachés à certains lieux qu’à d’autres ? Avec sa nouvelle carte interactive « Re-Imagine Alps », la CIPRA se penche sur ces questions et bien d’autres encore.

Alpenscène n° 104 - Le paysage est négociable

Re-Imagine Alps

[Projet achevé] Le projet « Re-Imagine Alpes » se penche à la fois sur les relations entre les êtres humains et sur celles qui existent entre l’être humain et la nature. Lorsque les humains se sentent concernés et impliqués, ils sont aussi prêts à prendre des responsabilités pour leur environnement. Le paysage sert de cadre de référence et de point d’ancrage à la perception et à la communication des enjeux du développement durable. Le projet met en lumière une série de relations, de souvenirs et de visions en lien avec les paysages de l’Arc alpin. Les représentations et les relations créent des responsabilités et des devoirs.

Worthwild

[Projet achevé] Les espaces inexploités, qui abritent une nature peu influencée par l’Homme, offrent à la société européenne de nombreux services écologiques tels que la garantie d’une diversité biologique et la régulation climatique.