L’étude emploie une méthodologie qui a été appliquée avec succès dans ce contexte dans d’autres régions. Jusqu’ici, les 22 institutions participantes ont soumis quelque 450 questions. Celles-ci feront l’objet d’un second tour de révision et consolidation, puis un processus de sélection en fonction des priorités prendra le départ lors d’un atelier qui commencera en décembre en Suisse. Le résultat final : une liste de 55 questions qui rendront compte de l’absence de
preuves scientifiques concrètes ou d’approches nouvelles en matière de connectivité écologique dans la région alpine.
Successivement, la liste des questions sera publiée dans un journal revu par les pairs et disséminée parmi un plus vaste public dans la région alpine et au-delà, de façon à aider les chercheurs et les donateurs à se concentrer sur les projets urgents.