Les remontées mécaniques s'acquittent d'un loyer en contrepartie.
C'est là une solution très avantageuse pour les remontées mécaniques, qui n'auraient pu faire les investissements nécessaires pour ces installations d'enneigement. De plus, les communes peuvent obtenir des crédits à de meilleures conditions que les entreprises de remontées mécaniques. Pour les communes, ce modèle de financement représente toutefois un risque considérable : elles ont donné aux banques une garantie maximale de 11 millions d'euros. Non seulement, elles paient donc une grande partie des canons à neige mais elles supportent aussi le risque de l'entrepreneur.
Source : Tages-Anzeiger 07.02.2005 www.tagesanzeiger.ch/dyn/news/wirtschaft (de)