Le chef du gouvernement provincial, Luis Durnwalder, a fait valoir que les primes étaient indispensables pour garantir l'exploitation des forêts de montagne, confrontée à des coûts supérieurs à ceux enregistrés dans les régions mieux situées. Compte tenu de ces coûts élevés, de nombreux sylviculteurs renoncent à exploiter leurs parcelles non-rentables, ce qui a un impact négatif sur l'état de santé de la forêt. La forêt remplissant de nombreuses fonctions (espace de repos, poumon vert, protection naturelle contre les avalanches, les éboulements et l'érosion), son maintien en bonne santé constitue une nécessité pour toutes les régions de montagne.
Suite au feu vert donné par Bruxelles, L. Durnwalder a annoncé que les primes seraient non seulement accordées à partir de maintenant pour l'avenir, mais qu'elles seraient également versées rétroactivement depuis 2006.
Source : www.provinz.bz.it/lpa/285 (de/it)